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14 ouvrages trouvés pour Didier BÉOUTIS
HISTOIRE DES ÉVÊQUES DU MANS
HISTOIRE DES ÉVÊQUES DU MANS
Éd. Siloë [52 €]
Cent un évêques ont occupé le siège épiscopal du Mans depuis saint Julien, premier en date, jusqu´à ce jour ! Certains furent des saints, des philosophes, d´autres des hommes de guerre ou des prélats mondains succédant à d´autres de grande piété... et vice versa. Ils ont traversé et façonné les 17 siècles d´existence du diocèse du Mans qui s´étendait bien au-delà des limites de notre département. Ce livre invite tous les esprits curieux, qu´ils soient croyants ou non, à découvrir la grande histoire de ces hommes de pouvoir mais aussi leurs petites histoires souvent inattendues, insolites, burlesques ou dramatiques...

GEORGES GROUSSARD, LE « PETIT COQ DE FOUGÈRES » DES ANNÉES SOIXANTE.
GEORGES GROUSSARD, LE « PETIT COQ DE FOUGÈRES » DES ANNÉES SOIXANTE.
I.T.F. éditions [25 €]
Poursuivant ses biographies de coureurs cyclistes des années 1960-70, Didier Béoutis nous livre celle du Fougerais Georges Groussard. Né dans une famille de petits agriculteurs, Georges devient, à l´exemple de son frère Joseph, coureur professionnel. Équipier modèle, le « petit Georges » (1,59 m) ne fait guère parler de lui, jusqu´au jour où, lors de l´étape de Briançon du Tour de France 1964, il conquiert le maillot jaune ! Le «Petit coq de Fougères » -comme l´avait surnommé Antoine Blondin- s´appliquera si bien à sa tâche, qu´il conserva la tunique neuf jours, jusqu´à Bayonne, la cédant à Jacques Anquetil, terminant 5e. Des problèmes de santé ne lui permettront pas de renouveler cet exploit. Groussard investira ses gains du Tour 1964 dans l´achat d´un commerce de tabac-journaux à Fougères, où il vit, avec son épouse, une retraite paisible.

GUY IGNOLIN, CHAMPION CYCLISTE DES ANNÉES SOIXANTE - DE LA TOURAINE À LA BRETAGNE.
ITF éd [Publié en 2022, 25 €]
Poursuivant ses biographies cyclistes, notre rédacteur, Didier Béoutis, publie celle de Guy Ignolin (1936-2011). Tourangeau installé dans le Trégor, équipier d´Anquetil puis de Poulidor, vainqueur notamment de trois étapes dans le Tour de France et de plusieurs courses par étapes, Ignolin, grimpeur de moyenne montagne, a été une figure des pelotons, dans les années soixante. Reconverti comme commerçant à Perros-Guirec, il sera organisateur de courses et conducteur de presse.

LES ÉCRIVAINS DANS LA DEUXIÈME GUERRE MONDIALE
LES ÉCRIVAINS DANS LA DEUXIÈME GUERRE MONDIALE
Éd. Glyphe [Publié en 202101, 18]
Deux ans après avoir publié Les Écrivains dans la Grande Guerre, l´Association des Écrivains combattants présente, dans un nouvel ouvrage, rédigé, comme le précédent, sous la direction de Didier Béoutis, Les Écrivains dans la Deuxième Guerre mondiale. Ce livre rappelle les oeuvres littéraires et les états de services militaires ou dans la Résistance de 197 écrivains, morts pour la France, entre 1939 et 1945, dont les noms sont gravés sur les murs du Panthéon. Certains sont connus, comme Marc Bloch, Pierre Brossolette, Jean Zay, Max Jacob, Berty Albrecht, Robert Desnos, Saint-Pol Roux ; d´autres n´avaient pas eu le temps d´accéder à la notoriété, et c´est justice de leur rendre hommage. Parmi ces « 197 », deux Sarthois : Saint-Exupéry et Marguerite Aron, de Solesmes.

LA FABULEUSE HISTOIRE DU GRAND PRIX DES NATIONS (1932-2004)... ET DU CHRONO DES NATIONS (DEPUIS 2006) (Préfaces de Jacques Augendre, Serge Laget, Jean-François Quénet et Christian Tessier.)
LA FABULEUSE HISTOIRE DU GRAND PRIX DES NATIONS (1932-2004)... ET DU CHRONO DES NATIONS (DEPUIS 2006)
ITF Éd. [Publié en 08/2020, 25 €]
Créé en 1932 sous la forme d´une course contre la montre en individuel, de Versailles à Paris, sur 142 km par les côtes de la vallée de Chevreuse, le « Grand prix des Nations » est rapidement devenu la grande « classique » cycliste de septembre, consacrant les plus grands champions (Magne, Coppi, Koblet, Bobet, Anquetil, Poulidor, Ocaña, Merckx, Hinault, Fignon...). La course dut s´adapter avant de disparaître, en 2004. Le Chrono des Nations, organisé aux Herbiers (Vendée) assure la continuité du Grand prix. Didier Béoutis nous présente une vue d´ensemble des «Nations», avant de détailler chaque édition, avec ses exploits, ses duels célèbres, ses révélations, ses drames et défaillances...

LES LANTERNES ROUGES DU TOUR DE FRANCE ... DANS TOUT LEUR ÉCLAT
LES LANTERNES ROUGES DU TOUR DE FRANCE ... DANS TOUT LEUR ÉCLAT
ITF Éd. [Publié en 20190615, 23 €]
Préfaces de Jacques Augendre et de Serge Laget. À l´opposé du «maillot jaune» du Tour de France, l´officieuse «lanterne rouge» désigne le coureur classé à la dernière place de l´épreuve. Des coureurs pittoresques -Zaaf, Hoar, Chaussabel- ont, à partir des années 50, popularisé la «lanterne rouge», au point qu´à l´arrière du peloton -à la joie des journalistes et au désespoir des organisateurs- se tient, chaque année, une discrète compétition pour terminer dernier, place médiatisée et plus rémunératrice qu´un rang anonyme. Les duels Matignon-Wilhelm ou Blocher-Hochart sont encore dans les mémoires.
Didier Béoutis nous livre cette première histoire des «lanternes rouges», en dévoilant, depuis 1903, année par année, la lutte pour la dernière place.

ANDRÉ DARRIGADE, LE LANDAIS BONDISSANT
ANDRÉ DARRIGADE, LE LANDAIS BONDISSANT
ITF éd. [Publié en 2019, 25 €]
Notre ami nous propose une nouvelle biographie d´un champion cycliste des années soixante : André Darrigade.
Écrite à l´occasion du 90e anniversaire du coureur, l´auteur nous rappelle les états de service d´un attaquant, rapide au sprint, champion du monde, vainqueur notamment de Bobet dans un championnat de France et de Coppi dans un Tour de Lombardie. Équipier d´Anquetil, il a remporté 22 étapes du Tour de France, le classement par points à deux reprises, et porté le maillot jaune pendant 19 jours. Retiré à Biarritz, Darrigade demeure le dernier grand sprinter français.

HISTOIRE DES ÉVÊQUES DU MANS (Didier Béoutis, Luc Chanteloup, René Despert, Serge Morin, Alain Moro, Sophie Ravary)
HISTOIRE DES ÉVÊQUES DU MANS
Siloë [Publié en 20181126, 52 €]
Cent un évêques ont occupé le siège épiscopal du Mans depuis saint Julien, premier en date, jusqu´à ce jour !
Certains furent des saints, des philosophes, d´autres des hommes de guerre ou des prélats mondains succédant à d´autres de grande piété... et vice versa. Ils ont traversé et façonné les 17 siècles d´existence du diocèse du Mans qui s´étendait bien au-delà des limites de notre département. Ce livre invite tous les esprits curieux, qu´ils soient croyants ou non, à découvrir la grande histoire de ces hommes de pouvoir mais aussi leurs petites histoires souvent inattendues, insolites, burlesques ou dramatiques...

LES ÉCRIVAINS DANS LA GRANDE GUERRE
LES ÉCRIVAINS DANS LA GRANDE GUERRE
Éd. Glyphe [Publié en 20181121, 20 €]
À l´initiative de Maurice Genevoix, Henry Malherbe, Roland Dorgelès... 80 écrivains rescapés se rassemblent, en juin 1919, pour fonder l´Association des écrivains combattants (AEC). Ils veulent rendre hommage et préserver la mémoire des hommes de lettres morts au champ d´honneur, créer et renforcer les liens entre les survivants. À l´occasion du centenaire de l´Armistice du 11 novembre 1918, cet ouvrage collectif montre la diversité des écrivains qui firent pour la France le sacrifice de leur vie. Ce livre de ferveur se veut un rempart contre l´oubli.

MARCEL QUEHEILLE. LE «DIABLE ROUGE CYCLISTE DU PAYS BASQUE
MARCEL QUEHEILLE. LE «DIABLE ROUGE CYCLISTE DU PAYS BASQUE
ITF Éd. [Publié en 20180701, 20 €]
Nouvelle biographie de champion cycliste : le Basque Marcel Queheille. De petit gabarit (1,60 m pour 55 kg), mais débordant d´énergie d´où son surnom de «diable rouge», ce redoutable grimpeur se manifesta notamment dans les étapes pyrénéennes du Tour de France. Reconverti, dans son village, dans la menuiserie-ébénisterie, le pittoresque Queheille, présent régulièrement aux manifestations sportives, coiffé de son béret rouge, a pris rang parmi les champions du sud-ouest, justifiant qu´une biographie lui soit -enfin- consacrée.

LE LYCÉE DE GARÇONS DU MANS À L
LE LYCÉE DE GARÇONS DU MANS À L'ÉPREUVE DE LA GRANDE GUERRE
ITF Éd. [Publié en 2014, 23 €]
La mobilisation générale d´août 1914 aura aussitôt ses effets sur le lycée de garçons du Mans, paisible établissement de 363 élèves : le départ aux armées de la moitié du corps enseignant, entièrement masculin ; la réquisition de bâtiments et des dortoirs, pour en faire un hôpital auxiliaire. Comment, alors, le lycée pourra faire face à sa mission d´éducation ? On fait appel à des enseignants réfugiés, à ceux de l´Ecole normale d´instituteurs, et même -c´est une première- à des professeurs femmes ! Le lycée participe même, de façon utile, aux œuvres de guerre. On entretient le patriotisme des élèves avec le rappel des morts pour la France, en tout six enseignants et cent-soixante anciens élèves, dont la mémoire sera pérennisée par un monument aux morts, inauguré en novembre 1922.

ANDRÉ LE DISSEZ, LE JOYEUX FACTEUR DES PELOTONS CYCLISTES
ANDRÉ LE DISSEZ, LE JOYEUX FACTEUR DES PELOTONS CYCLISTES
ITF Éd. [Publié en 2014, 20 €]
Né dans le Finistère en 1929, venu très jeune à Paris, André Le Dissez occupe un emploi de facteur tout en pratiquant la compétition cycliste. Après une longue carrière amateur, il devient professionnel au sein de l´équipe Mercier, dirigée par Antonin Magne. Le "joyeux facteur" y sera un équipier précieux pour Louison Bobet, puis Raymond Poulidor, tout en gagnant lui-même des courses (étape de Clermont-Ferrand du Tour de France 1959). Il connaîtra ensuite une brillante reconversion comme distributeur de services de presse, fréquentant le monde littéraire parisien. Une ascension sociale à la force du poignet... et du jarret.

MÉMOIRES D
MÉMOIRES D'UN MANCEAU, SOLDAT PENDANT LA GRANDE GUERRE
ITF Éd. [25 €]
Le futur historien du Maine André Bouton (1890-1979), alors clerc de notaire, est mobilisé en août 1914. Il ne sera libéré qu´en mars 1919, après avoir connu, en 56 mois, les bureaux d´état-major ; puis, sur sa demande, les unités combattantes des 117e et 404e régiments d´infanterie, sur le front de la Somme ; après deux blessures, hôpitaux et maisons de convalescence ; enfin deux postes de guet, dans l´Orne. Grâce à un journal tenu chaque jour, André Bouton a écrit ses "mémoires de guerre", jusqu´à présent restées inédites. Petit-fils d´André Bouton, Didier Béoutis publie, en l´assortissant d´annotations et d´illustrations, ce récit, témoignage de la guerre vu "d´en-bas", par un soldat à l´œil avisé, parfois critique. L´ouvrage est préfacé par Stéphane Tison, maître de conférences à l´Université du Maine.

LÉON BECK, UN SARTHOIS PROVISEUR DU LYCÉE HENRI IV
LÉON BECK, UN SARTHOIS PROVISEUR DU LYCÉE HENRI IV
ITF Éd. [Publié en 2013, 20 €]
Trois mois après son "Paul Marchal", Didier Béoutis publie une deuxième biographie d´un ancien professeur du lycée du Mans, Léon Beck (1875-1939). Fils d´un Mosellan ayant opté pour la France en 1871 et s´étant retrouvé gendarme à La Chartre-sur-le-Loir, le jeune Léon, boursier de l´État, effectue un parcours universitaire brillant : élève de l´École normale supérieure -où il signe la pétition demandant la révision du jugement ayant condamné Dreyfus- ; major de l´agrégation des lettres ; professeur au Mans -où il crée l´Université populaire- ; proviseur du lycée de Metz —où il doit "franciser" un établissement ayant été sous direction allemande pendant 48 ans ; enfin proviseur du lycée parisien Henri IV, auteur d´ouvrages d´art et de littérature. Un beau parcours de promotion sociale comme a su en produire la IIIe République et qui mérite d´être connu des Sarthois !